22 févr. 2015

CHANDELLES, BIJOUX, ECLATS !!!

(et c'est bien tard, mettant à jour mon blog dans une temporalité glissante, que je partage avec vous et avec scrupule, ces photos-bonus à la grâce exquise, de Matthieu et moi, plongés avec ravissement dans un bac à déguisement. Ne dirait-on pas deux fleurs délicatement épanouies dans des kimonos?)

 Merci à René Pagès pour avoir capté ces moments d'élégance et de dignité.

j'en profite bien-sûr pour remettre donc ici toute la liste des MERCI de l'ensemble de cette semaine flamboyante:


MERCI ROUEN, TOULOUSE ET LAVAUR POUR CETTE SEMAINE SCINTILLANTE !!!

Merci Rouen, ta balance la plus efficace du monde, le piano d'automne de Majiker et l'accordéon à frisson de Zaza, ses mots qui viennent à moto et en perfecto te ravir le cœur, brrr. Merci à Valérie, à l'équipe brûlante du festival Chants d'Elles, de la maison de l'Université , et à toutes leurs salades en prénom, miam , beurk, avec de l'Uitre, de l'Urigan, des Urgettes et du Urgyère, ahah, c'était Uper bien, merci, Uerci Ueabcoup. (mais sapristi, ya quoi comme ingrédient qui commence par U ???)


Merci Toulouse, merci cher Bijou, ton accueil aussi scintillant que le nom de ta salle, mes lettres débordantes sur ton fronton, Emma, Pascal, une équipe bouillonnante aux petits oignons, un public à tomber tellement par terre que j'ai tout traversé les couches terrestres fait coucou de l'autre côté puis que j'ai retobogganné jusqu'ici, waou, tes rappels en cascades, effrontément.
Merci les croques-monsieur-madame, les virées nocturnes, Marmiton et Poutine, Elouane Agathe et la cuuumbia imaginaire pour cause de décalage horaire, les bars et la barre, les dragibus et les dragitaxis, et LA FEMME à fond dans la voiture, dans le motu quoi, parce que notre cœur bat encore. Doumdoum. Doumdoum.  



Merci Lavaur, l'émotion de ce dernier concert épuisée et à nu, sous les projecteurs OUAIS OUAIS, Merci à l'association Eclats , René, toute l'équipe, y compris Jean Marc qui s'appellerait éventuellement Jean Marie, selon certaines sources contradictoires, merci les clémentines, que Matthieu, outre d'illuminer la scène et la route, sait désormais empiler par quatre ; merci pour les loges de théâtres pleines de costumes dans lesquels on s'est allègrement jetés (voir photos bonus) Merci pour cet accueil et cette générosité à la louche, qu'on s'est d'ailleurs resservis trois fois, pour le cocon nocturne, danse silencieuse dans la nuit, et départ en trombe dans le matin d'hiver. 



et merci Nyima et Judith, apparues dans le monde cette semaine, grands yeux ouverts au milieu des notes, mains tendues, neuves, aussi étonnées que nous. 



A BIENTOT !!!
 

   

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